Maria Sharapova ne veut pas que les femmes gagnent plus que les hommes en jouant au tennis. Jeune fille moderne, la Russe est pour la stricte égalité des sexes.
Alors que tous les tournois du Grand Chelem offrent désormais autant d'argent aux hommes et aux femmes, il existe encore des partisans d'une augmentation de la dotation chez les femmes. Il ne faut pas se le cacher, les jolis minois des championnes attirent au bord des courts et devant la TV. L'effet Kournikova n'est pas fini mais Sharapova ne veut pas en profiter. "Je suis heureuse de l'égalité, comme toutes les filles. C'est juste et normal. Nous nous sommes battus pour ça pendant longtemps", explique la n°5 mondiale. "J'espère que dans les années à venir, comme Billie Jean King l'avait fait pour nous (NDLR : elle avait battu l'ancien n°1 mondial Bobby Riggs dans le match de la "guerre des sexes"), nous aurons travaillé pour les générations futures", ajoute-t-elle.
Très contente de gagner autant qu'un Federer ou un Rafael Nadal dans un Majeur, elle ne veut pas pousser son avantage. "La dotation globale générale (NDLR : 12 500 000 euros) doit augmenter car le tennis est de plus en plus populaire partout dans le monde. Voir cette expansion à chaque voyage c'est incroyable", s'est enthousiasmé la Sibérienne. C'est bien connu quand on est riche, on en veut toujours plus on point de vue. Son point de vue est donc simple : la dotation globale doit encore augmenter et miss Sharapova milite pour un partage des gains à 50-50. "Cela doit marcher comme ça, ne soyons pas gourmand", a-t-elle déclaré à l'issue de sa victoire contre Elena Vesnina. Il serait en effet bien difficile d'expliquer que les filles gagnent plus alors qu'elles jouent aux meilleurs des trois sets...
Alors que tous les tournois du Grand Chelem offrent désormais autant d'argent aux hommes et aux femmes, il existe encore des partisans d'une augmentation de la dotation chez les femmes. Il ne faut pas se le cacher, les jolis minois des championnes attirent au bord des courts et devant la TV. L'effet Kournikova n'est pas fini mais Sharapova ne veut pas en profiter. "Je suis heureuse de l'égalité, comme toutes les filles. C'est juste et normal. Nous nous sommes battus pour ça pendant longtemps", explique la n°5 mondiale. "J'espère que dans les années à venir, comme Billie Jean King l'avait fait pour nous (NDLR : elle avait battu l'ancien n°1 mondial Bobby Riggs dans le match de la "guerre des sexes"), nous aurons travaillé pour les générations futures", ajoute-t-elle.
Très contente de gagner autant qu'un Federer ou un Rafael Nadal dans un Majeur, elle ne veut pas pousser son avantage. "La dotation globale générale (NDLR : 12 500 000 euros) doit augmenter car le tennis est de plus en plus populaire partout dans le monde. Voir cette expansion à chaque voyage c'est incroyable", s'est enthousiasmé la Sibérienne. C'est bien connu quand on est riche, on en veut toujours plus on point de vue. Son point de vue est donc simple : la dotation globale doit encore augmenter et miss Sharapova milite pour un partage des gains à 50-50. "Cela doit marcher comme ça, ne soyons pas gourmand", a-t-elle déclaré à l'issue de sa victoire contre Elena Vesnina. Il serait en effet bien difficile d'expliquer que les filles gagnent plus alors qu'elles jouent aux meilleurs des trois sets...