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UEFA Champion's league 2007-2008
L'EMPEREUR
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Enfin des beaux matches!
ça change de la L1
ça change de la L1
L'EMPEREUR
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je pense que le Barça, Séville, Porto et Chelsea se qualifieront sans trop de problème
Les 4 autres matches vont être serrés! Mais je pense que Manchester, l Inter et le Real devraient passer
Après pour Arsenal-Milan AC ça reste indécis franchement je peux pas dire qui va gagner vu qu Arsenal paraît meilleur mais bon le Milan est toujours excellent en LDC
Les 4 autres matches vont être serrés! Mais je pense que Manchester, l Inter et le Real devraient passer
Après pour Arsenal-Milan AC ça reste indécis franchement je peux pas dire qui va gagner vu qu Arsenal paraît meilleur mais bon le Milan est toujours excellent en LDC
Invité- Invité
Arsenal-Milan AC , je vois pas trop comment les young guns peuvent s"en sortir devant l'experience et le talent es rossoneri.
L'EMPEREUR
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Résultats des matches aller:
Olympiakos 0-0 Chelsea
AS Rome 2-1 Real Madrid (beau match )
Liverpool 2-0 Inter Milan (expulsion du connard materazzi
)
Schalke 04 1-0 Porto
Olympiakos 0-0 Chelsea
AS Rome 2-1 Real Madrid (beau match
)Liverpool 2-0 Inter Milan (expulsion du connard materazzi
)Schalke 04 1-0 Porto
Invité- Invité
bien fait pour L'INTER pour ce qui est du connard materazzi 
calme toi car des Connards vous en avez pleins en equipe de France Vieira Domenech etc ..... 
calme toi car des Connards vous en avez pleins en equipe de France Vieira Domenech etc .....
L'EMPEREUR
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t inquiète en France aussi il y a plein de connard Pape Diouf Domenechet plein d autres....siberian prince a écrit:bien fait pour L'INTER pour ce qui est du connard materazzi
Mais Materazzi je ne peux pas le supporter 
Allez Manchester...
L'EMPEREUR
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Arsenal 0-0 Milan AC
Lyon 1-1 Manchester United
Fenerbahçe 3-2 FC Séville
Celtic Glasgow 2-3 FC Barcelone
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Fenerbahçe 3-2 FC Séville
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Mashafan- Admin
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super barça 
ça va les matchs de hier ils ont été pas mal. Les lyonnais dommage pour eux lol je pensais pas qu'ils allaient avoir autant de mal United face a eux 
ça va les matchs de hier ils ont été pas mal. Les lyonnais dommage pour eux lol je pensais pas qu'ils allaient avoir autant de mal United face a eux
L'EMPEREUR
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franchement Manchester m a déçu mais il faut dire que par moment cette équipe est impressionante
Invité- Invité
La Roma dompte le Real, Liverpool fait plier l'Inter
L'AS Rome, pourtant menée au score, l'a emporté sur le Real Madrid (2-1) et garde intactes ses chances de qualification, tandis que Liverpool a marqué deux buts à l'Inter Milan (2-0) dans les dernières minutes, mardi en 8e de finale aller de la Ligue des champions.
AS Rome-Real Madrid: 2-1
La Roma était pourtant bien mal partie: un but de renard de Raul - son 60e en Ligue des champions - dès la 8e minute plongeait le stade olympique dans le doute. Mais Pizarro (24) égalisait en profitant d'un ballon traînant dans la surface avant que Mancini, après une belle combinaison avec Totti, n'enfonce le clou (58). Le Real n'est pas parvenu à concrétiser au score sa nette domination en première période, alors que la Roma s'est au contraire redressée au cours du match, opposant à l'attaque espagnole un bloc défensif imprenable, même si les Madrilènes se sont montrés maladroits (poteau de van Nistelrooy, frappe de Baptista au-dessus après un caviar de la poitrine de Raul...). La Roma est bien partie, mais le but à l'extérieur du Real fait que tout reste possible.
Liverpool-Inter Milan: 2-0
Ils ont fini par craquer! Les Milanais, réduits à dix dès la demi-heure de jeu après l'exclusion de Materrazzi pour deux avertissements, ont longtemps offert une résistance acharnée à Anfield. Mais c'est finalement Kuyt, d'une demi-volée à cinq minutes de la fin du match, qui récompensait les Reds de leurs efforts (85). Gerrard, comme souvent à Liverpool, apportait son écot - un second but d'une frappe excentrée limpide - et assurait un bel avantage aux Reds en prévision du retour à San Siro (90). Il s'agit de la troisième défaite de la saison toutes compétitions confondues pour l'Inter Milan, mais elle pourrait peser lourd.
Olympiakos-Chelsea: 0-0
Avram Grant avait choisi de laisser sur le banc Lampard et Terry, sans doute encore trop justes, ainsi qu'Anelka, pour faire confiance en attaque à Drogba épaulé de Malouda et J. Cole. Mais les Blues ont fait chou blanc en échouant à inscrire le fameux but à l'extérieur face à l'une des équipes surprises de ces 8e de finale, et se réservent ainsi un match retour beaucoup moins confortable.
Schalke 04-Porto: 1-0
Les Allemands, longtemps stériles chez eux, l'ont enfin emporté à l'Arena Aufschalke (1-0), devant un club de Porto qui y avait remporté sa seconde C1, en 2004. Il fallait être à l'heure à Gelsenkirchen: Kurnayi n'a mis que quatre minutes pour marquer l'unique but du match et faire rêver un peu les vice-champions d'Allemagne enlisés dans une saison par ailleurs médiocre. C'est le contraire à Porto, qui survole son championnat (1er avec dix points d'avance sur son dauphin) mais qui devra se montrer plus incisif au retour.
Les rencontres de ce Mercredi 20 Février 2008
Déception pour Lyon, option pour Barcelone
Un véritable feu d'artifice a été tiré mercredi en Ligue des champions avec 12 buts inscrits dans des rencontres très équilibrées. La meilleure opération est réalisée par Barcelone, qui s'est imposé à Glasgow sur la pelouse du Celtic. Les matches retour s'annoncent d'ores et déjà alléchants.
Le match
Celtic Glasgow 2:3 FC Barcelone
Buts: Vennegoor of Hesselink (16), Barry Robson (38) pour le Celtic, Lionel Messi (18 et 79), Thierry Henry (52) pour Barcelone
Les Ecossais ont fait preuve d'un réalisme étonnant en trouvant le chemin du but à deux reprises au plus fort de la domination du Barça qui imposait son jeu à une touche de balle. A chaque fois, on retrouve à l'origine le prometteur Aiden McGeady, qui remonte le ballon avant d'adresser des centres millimétrés depuis son aile gauche. Le premier sur la tête de Vennegoor of Hesselink, qui prend le dessus sur deux défenseurs catalans (16'), le second sur celle de Barry Robson qui lobe Victor Valdes (38').
Mais cela n'a pas suffi face aux artistes catalans qui ont fait la différence sur deux coups de patte de l'Argentin Lionel Messi. Il bat d'abord Artur Boruc d'une balle piquée avant de doubler son compteur personnel sur une action individuelle après un bon service de Samuel Eto'o. Entre temps, Thierry Henry, servi par Ronaldinho, avait réussi sa "spéciale", comme à ses plus beaux jours à Arsenal. Après un tel spectacle, les deux équipes ont logiquement quitté le Celtic Park sous des applaudissements nourris.
Le but
Celtic Glasgow 2:3 FC Barcelone. Thierry Henry (52) pour Barcelone
Ronaldinho récupère un ballon sur le flanc gauche et sert immédiatement Thierry Henry. L'attaquant français s'avance et place un modèle de frappe enroulée de l'intérieur du pied droit et le ballon termine sa course dans la lucarne opposée. Ce bijou est le 45ème but de l'ancien Gunner en 91 matches de Ligue des champions.
Les autres matches
Malgré le score vierge, le choc entre Arsenal et l'AC Milan, champion d'Europe en titre, a été d'une intensité extraordinaire. Disputée à cent à l'heure pendant 90 minutes, cette rencontre aurait pu basculer d'un côté comme de l'autre avec 15 tirs au but pour Arsenal, dont une tête d'Emmanuel Adebayor sur la transversale dans le temps additionnel, contre 7 à Milan à la rigueur défensive exemplaire, à l'image de son inusable capitaine Paolo Maldini.
Lyon pour sa part a frôlé l'exploit face à Manchester United. Les sextuples champions de France ont ouvert la marque sur une frappe soudaine de Karim Benzema de 20 mètres au milieu de trois défenseurs (52'). Mais à trois minutes de la fin, après un centre de Nani mal dégagé par Fred, Carlos Tevez égalisait à bout portant pour arracher un résultat équitable sur l'ensemble de la rencontre.
A Istanbul, pour le premier huitième de finale de C1 de son histoire, Fenerbahçe a pris le match à bras le corps et ouvert rapidement la marque par Mateja Kezman. Bien servi par Boral Ugur, l'attaquant serbe se retrouve seul devant Andres Palop et trompe facilement de la tête le portier du FC Séville (17'). Mais les Andalous reviennent rapidement dans le match en égalisant sur une grosse bourde d'Edu Dracena, détournant dans son propre but un centre anodin de Daniel Alves (24'). Les Turcs reprennent l'avantage à la 56ème par l'Uruguayen Diego Lugano, encore de la tête, à la réception d'un corner d'Alex. Mais une nouvelle fois Séville refait son retard par Julien Escudé, en force au second poteau (66'). Finalement, les hommes de Zico sont récompensés de leurs efforts à trois minutes de la fin sur une frappe du droit de 20 mètres signée Santurk Semih après une bonne remontée d'Alex.
Le chiffre
6, comme le nombre de buts incrits par Lionel Messi depuis le début de la Ligue des champions. L'Argentin du Barça prend la tête du classement des buteurs devant Zlatan Ibrahimovic, Steven Gerrard et Cristiano Ronaldo (5 buts chacun).
L'histoire
Arsène Wenger, l'entraîneur d'Arsenal, dirigeait mercredi son centième match de Ligue des champions, 17 avec l'AS Monaco et 83 avec Arsenal dont il est le manager général depuis octobre 1996. Son meilleur résultat jusqu'à présent est une finale perdue en 2006 contre Barcelone.
Mashafan- Admin
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Les notes OL / United
Lyon
Coupet (5) : A fait son match malgré une détente verticale digne de Chilavert. Boxe toutes ses balles dont un beau coup-franc de Ronaldo, se couche bien sur Rooney. Le coquin…
Reveillère (5) : On s’attendait au pire après l’épisode Mancini, mais a finalement fait son deuil en muselant bien C.Ronaldo. Suspendu au match retour, Clerc retrouvera sa vraie place d’arrière droit.
Squillaci (4) : Squillaci-dessus trop souvent face aux attaques adverses et notamment sur le but de Tevez.
Boumsong (7) : On va pas se mentir, Georges Alain a été le meilleur Lyonnais hier soir, comme quoi les tribunes de la Juve ça conserve.
Grosso (5) : A fait un bon match grâce à Govou, ce qui est un comble pour un champion du monde.
Toulalan (7) : Il est sur tous les ballons, dans tous les bons coups, sur tous les duels, c’est sa fille, sa baballe. Fallait pas qu’elle s’en aille…
Juninho (3,5) : Une mélancolie à fleur de poil. Porte son propre deuil footballistique.
Kallstrom (12000…volts) : Cours toujours, tu m’intéresses.
Clerc (9, : C’est le genre de type qui joue contre Manchester comme on va chez Leroy Merlin le dimanche. Toujours content, Clerc était milieu inoffensif, un poste qui lui va bien. Normal pour un arrière droit.
Govou (7) : Comme d’habitude très bon. Comme d’habitude ça n’a servi à rien. Comme d’habitude…
Benzema (9) : Ronaldo, le vrai, semble aller bien.
Bodmer (6) : Bonne rentrée même s’il joue toujours à Lille.
Ben Arfa (9 en sport individuel ; 2 en collectif) : Ses dribbles exquis et ses prises de risque ont coûté le match à Lyon. A tout pour lui, reste plus qu’à jouer avec les autres.
Fred (0) : Une merde. En plus, il porte la poisse.
M-A-L-O-U-D-A (9) : Normal. N’était pas sur le pitch !!!
Manchester
Van der Sar (4) : Rien à faire, et pas d’exploit. Il est grand pour rien et en plus, il est salement moche.
Brown (3) : Brown Bunny est un bon film pourtant…
Ferdinand (3) : Super naze, ça tombe bien, portrait dans le prochain So Foot, le Carnaval de Rio.
Vidic (6,5) : Bon match.
Evra (3) : Si t’es pas bon face à Clerc et Reveillère…
Scholes (5) : De superbes transversales, c’est tout. Simply Red.
Hargreaves (4) : Le Toulalan du pauvre.
Anderson (6) : Le petit frère de Mia Frye, une vraie pieuvre au milieu du terrain.
C.Ronaldo (4) : Mériterait de perdre un genou, cette petite putain.
Giggs (3) : Il a joué ?
Rooney (7) : Un vrai porc-sang. Grouiiiiiic !
Nani : What about Nani Cool ?
Tevez ( : Il est bon, mais putain qu’est-ce qu’il est vilain !!
Par So Foot
ils sont cons ...
Lyon
Coupet (5) : A fait son match malgré une détente verticale digne de Chilavert. Boxe toutes ses balles dont un beau coup-franc de Ronaldo, se couche bien sur Rooney. Le coquin…
Reveillère (5) : On s’attendait au pire après l’épisode Mancini, mais a finalement fait son deuil en muselant bien C.Ronaldo. Suspendu au match retour, Clerc retrouvera sa vraie place d’arrière droit.
Squillaci (4) : Squillaci-dessus trop souvent face aux attaques adverses et notamment sur le but de Tevez.
Boumsong (7) : On va pas se mentir, Georges Alain a été le meilleur Lyonnais hier soir, comme quoi les tribunes de la Juve ça conserve.
Grosso (5) : A fait un bon match grâce à Govou, ce qui est un comble pour un champion du monde.
Toulalan (7) : Il est sur tous les ballons, dans tous les bons coups, sur tous les duels, c’est sa fille, sa baballe. Fallait pas qu’elle s’en aille…
Juninho (3,5) : Une mélancolie à fleur de poil. Porte son propre deuil footballistique.
Kallstrom (12000…volts) : Cours toujours, tu m’intéresses.
Clerc (9,
: C’est le genre de type qui joue contre Manchester comme on va chez Leroy Merlin le dimanche. Toujours content, Clerc était milieu inoffensif, un poste qui lui va bien. Normal pour un arrière droit.Govou (7) : Comme d’habitude très bon. Comme d’habitude ça n’a servi à rien. Comme d’habitude…
Benzema (9) : Ronaldo, le vrai, semble aller bien.
Bodmer (6) : Bonne rentrée même s’il joue toujours à Lille.
Ben Arfa (9 en sport individuel ; 2 en collectif) : Ses dribbles exquis et ses prises de risque ont coûté le match à Lyon. A tout pour lui, reste plus qu’à jouer avec les autres.
Fred (0) : Une merde. En plus, il porte la poisse.
M-A-L-O-U-D-A (9) : Normal. N’était pas sur le pitch !!!
Manchester
Van der Sar (4) : Rien à faire, et pas d’exploit. Il est grand pour rien et en plus, il est salement moche.
Brown (3) : Brown Bunny est un bon film pourtant…
Ferdinand (3) : Super naze, ça tombe bien, portrait dans le prochain So Foot, le Carnaval de Rio.
Vidic (6,5) : Bon match.
Evra (3) : Si t’es pas bon face à Clerc et Reveillère…
Scholes (5) : De superbes transversales, c’est tout. Simply Red.
Hargreaves (4) : Le Toulalan du pauvre.
Anderson (6) : Le petit frère de Mia Frye, une vraie pieuvre au milieu du terrain.
C.Ronaldo (4) : Mériterait de perdre un genou, cette petite putain.
Giggs (3) : Il a joué ?
Rooney (7) : Un vrai porc-sang. Grouiiiiiic !
Nani : What about Nani Cool ?
Tevez (
: Il est bon, mais putain qu’est-ce qu’il est vilain !!Par So Foot
ils sont cons ...
L'EMPEREUR
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ils sont énormes je suis plié en 2 le truc sur juninho et clerc pareil pour Tévez le mec on dirait qu il vient juste de sortir de sa caverne
je suis plié en 2 le truc sur juninho et clerc pareil pour Tévez le mec on dirait qu il vient juste de sortir de sa caverne
Invité- Invité
MISSION IMPOSSIBLE ?!
Pour espérer réussir un exploit sur la pelouse de Manchester United mardi en huitièmes de finale de la Ligue des Champions, Alain Perrin va devoir procéder à des choix tactiques et d'hommes cruciaux. L'entraîneur de l'Olympique Lyonnais a quelques sujets chauds sur le grill.
L'heure est aux maux de tête pour Alain Perrin. Non pas que l'état de son équipe inquiète avant de défier Manchester mardi à Old Trafford. Bien au contraire. En venant à bout de Lille au Stade de France samedi (0-1), Lyon s'est rassuré. Les champions de France ont ainsi décroché leur première victoire hors de leurs bases depuis le 24 novembre. De quoi aborder sinon sereinement au moins dans de bonnes conditions le déplacement en Angleterre. Si une dernière nuit blanche guette le coach rhodanien, cela concerne avant tout la composition de son équipe pour le match face aux Red Devils. Si Anthony Réveillère, suspendu, devrait être suppléé dans son couloir droit par François Clerc, pour le reste, l'heure est au casse-tête.
CRIS PLUTÔT QUE BOUMSONG ?
Si Cris n'est sans doute pas encore à 100% de ses capacités, le défenseur brésilien dégage cette sérénité, cette assurance qui manque cruellement à l'arrière-garde lyonnaise depuis le début de saison. Sa rentrée face à Lille, après sept mois d'absence, fut rassurante. Avec 71% de duels remportés, le Brésilien a apporté son agressivité et largement contribué à garder inviolés les buts rhodaniens. Reste à savoir s'il est en mesure de rééditer pareille performance à trois jours d'intervalle : "Sur un plan personnel, je me suis senti bien. Avant cette rencontre, j'avais fait un gros travail mental. Après n"avoir pas joué pendant six mois, il était difficile de retrouver le rythme. Pour Manchester, je suis là. Aujourd'hui j'ai joué quatre-vingt-dix minutes et tout s'est bien passé", commentait Cris sur le site officiel de Lyon.
Du côté du staff, même son de cloche. "Il a fait une très bonne rentrée. Il faudra maintenant voir comment il va récupérer de ce match pour être prêt mardi", analysait Christophe Galtier, entraîneur adjoint de l'OL. Si Cris était trop court physiquement, Jean-Alain Boumsong pourrait débuter aux côtés de Sébastien Squillaci. L'ancien Turinois fut le meilleur Lyonnais à l'aller. Alain Perrin va-t-il dès lors prendre le risque de s'en passer ? Son adjoint apporte un début de réponse : "En dehors de sa performance, il faut regarder tout ce qu'il apporte à côté : beaucoup de rigueur, de prestance dans le vestiaire."
AVANTAGE BENZEMA
Samedi, un mini-drame s'est déroulé sur la pelouse du Stade de France. Aligné sur le côté gauche par Alain Perrin face à Lille, Karim Benzema n'a pas réalisé une partie grandiose. Il a même quitté ses partenaires à l'heure de jeu. Mécontent, l'international français n'a même pas tapé dans la main d'Hatem Ben Arfa. Si certains ont avancé son inimitié avec son jeune partenaire, le meilleur buteur de L1 (16 buts) a simplement exprimé son mécontentement de jouer sur l'aile gauche. Un mécontentement dont il avait déjà fait part en octobre lors d'un rassemblement en équipe de France. "Je n'irai plus sur le côté à Lyon", avait-il avancé. Qu'il se rassure, à Manchester Karim Benzema jouera dans l'axe.
Les raisons sont assez évidentes. Pour un tel match, Alain Perrin ne peut se permettre de mettre sa perle sur le côté. Ce serait une erreur historique. Son flair et son talent ne peuvent être sacrifiés. Dans ce cas et compte tenu de l'impossibilité de l'OL à évoluer en 4-4-2 sur la totalité d'une partie, Fred commencera le match sur le banc de touche. Ne pouvant évoluer sur une aile, le Brésilien sera remplacé numériquement par Hatem Ben Arfa, remplaçant face à Metz et Auxerre. Le jeune feu follet aura pour mission de faire perdre pied à Wes Brown. De son côté, Fred aura peut-être son mot à dire en cours de match.
QUELLE ATTITUDE ADOPTER ?
Depuis la 86e minute du match aller, l'Olympique Lyonnais est virtuellement éliminé. Grâce au 1-1 obtenu à Gerland, Manchester United tient pour le moment la corde et son ticket pour les quarts de finale. Pour renverser la situation et réaliser un exploit marquant, l'OL va devoir jouer serré et, surtout, intelligemment. Evidemment, les Lyonnais ne seront pas tenus de se jeter à l'abordage. Mais il ne faudra pas non plus rester à dix derrière et attendre les contres. Une telle attitude serait pour le moins suicidaire. Si Monaco avait réussi à se qualifier pour les demi-finales de la C1 en 1998 en faisant le dos rond et subissant toute la partie à Old Trafford, un tel pari est plus que risqué.
A l'aller, Alain Perrin avait été prudent en alignant François Clerc sur le côté droit. Juste devant Anthony Réveillère, le défenseur de métier avait eu pour mission de boucher le couloir. A gauche, Sidney Govou avait été préféré à Hatem Ben Arfa pour des raisons quasiment analogues. A Old Trafford, le technicien devra procéder autrement car Réveillère est suspendu. Clerc va donc redescendre d'un rang et Govou revenir à droite, laissant le couloir gauche à Ben Arfa. Sur le papier, la formation alignée sera donc plus offensive. Mais devra être tout aussi vigilante."On sait que l'on va subir, surtout dans le premier quart d'heure. Il faudra être très présents défensivement, mais, offensivement, on peut aussi faire la différence. On va donc là-bas sereins", assure Jérémy Toulalan. "Il faudra essayer de résister le plus longtemps possible, confirme Jean-Michel Aulas avant de prédire : Je pense que ce sera un match très offensif. Nous rêvons de faire 5-5 à Old Trafford."
UN BANC DECISIF ?
Au match aller, Manchester avait puisé sa force de son banc. Nani, auteur du centre décisif, et Tevez, buteur, avaient permis à Manchester d'arracher le match nul (1-1). A l'inverse, côté rhodanien, les entrées de Ben Arfa et Fred ont semblé perturber l'animation offensive, le jeune ailier se noyant dans des raids voués à l'échec. Pour ce match retour, et en fonction de la physionomie du match, les remplaçants rhodaniens pourraient faire basculer le sort du match. "On a retrouvé une profondeur de banc avec le retour des blessés", analyse Jean-Michel Aulas.
En cas de score nul et vierge, Fred pourrait ainsi débloquer la situation. Auteur de trois buts lors des deux derniers matches de Ligue 1, l'attaquant lyonnais est en confiance. En cas d'échec, les champions de France pourront également compter sur Kader Keita. L'Ivoirien, transparent en Ligue 1, reste sur une CAN encourageante. Et il n'aime rien de plus que les grands matches et les climats hostiles pour se sublimer. L'an dernier à San Siro, il fut le principal artisan du succès lillois face au futur champion d'Europe (0-2). Bis repetita à Old Trafford ?
En arrachant le nul à Lyon, MU s'est mis en position favorable avant de recevoir l'OL dans son antre, mardi soir (20h45). Impressionnant en Championnat, avec un effectif au complet, Manchester est favori. Mardi toujours, le Barça reçoit le Celtic Glasgow (3-2) mais se méfiera des bouillants Écossais. Match de gala à Milan où les champions en titre accueillent Arsenal. Tout reste à faire après le nul (0-0) de l'aller. Enfin Séville, battu (3-2) à Fenerbahçe, peut faire son retard à domicile.
Mercredi, Chelsea reçoit l'Olympiakos (0-0), tandis que le Real battu à la Roma (2-1) joue gros à Bernabeu. Schalke, en déplacement à Porto, tentera de conserver son court avantage (1-0). L'Inter, battu par Liverpool (2-0), ne jouera la revanche et la qualification que le 11 mars prochain.
Milan-Arsenal, rien n'est fait
Champion d'Europe en titre, l'AC Milan vit une période délicate, entre blessures et résultats médiocres, qui complique sa tâche à l'heure d'affronter Arsenal mardi en 8e de finale de la Ligue des Champions, deux semaines après un aller (0-0) qui laisse les jeux ouverts.
Quatre nuls et une victoire lors des cinq dernières journées de Serie A, des coups de fatigue, légitimes, après 14 rencontres disputées depuis la mi-janvier, des convalescences de cadres qui s'achèvent à peine (Nesta, Kaka): le septuple vainqueur de la C1 souffre.
Exception faite du gardien Kalac - une révélation, à 35 ans -, les Milanais n'ont pas retrouvé leur niveau de l'an passé, à l'image d'un Kaka, certes touché au genou gauche, dont les spectaculaires coups de rein se sont raréfiés.
Heureusement pour eux, le "parfum" de la Ligue des Champions a bien des vertus, et principalement, celle de les transcender. "La C1 est dans l'ADN de ce club", assure Carlo Ancelotti.
Ancelotti "confiant"
"Je suis confiant parce que cette équipe a toujours su comment jouer dans ce type de rencontre", ajoute l'entraîneur, qui nonobstant les pépins physiques, souligne que "ce sont d'autres choses qui rentrent en compte: le courage, la personnalité, l'envie de prendre le contrôle du match".
Le 0-0 à Londres oblige Milan à gagner pour se qualifier. La saison passée, au même stade de la compétition, il avait également obtenu un 0-0 à l'extérieur, face au Celtic Glasgow, avant, non sans difficultés, de s'imposer à San Siro grâce à un exploit de Kaka lors de la prolongation (1-0 a.p.).
Arsenal, de son côté, s'il est toujours leader du championnat, marque aussi le pas, en témoigne sa série de quatre matches sans succès (3 nuls, 1 défaite). Samedi, les deux équipes ont d'ailleurs réalisé des performances jumelles, peinant grandement chez elles face à Aston Villa (1-1) et la Lazio (1-1).
Avant l'aller, tout avait été dit sur le choc entre la jeunesse des Gunners et l'expérience des Rossoneri. Une vision certes un peu sommaire, mais confirmé par le résultat: les Anglais, offensifs, s'étaient échinés en vain sur la défense italienne.
Mardi, il en ira autrement: Milan - qui présentera une équipe où un seul titulaire, Seedorf, victime d'une blessure musculaire, devrait faire défaut -, doit marquer.
"Accélération subite"
"Nous devrons être solides défensivement. Lors du match retour à San Siro l'an passé, ils avaient fait exploser Manchester dans les vingt premières minutes", assure l'entraîneur des Gunners Arsène Wenger, qui ajoute cependant: "Avec le 0-0 de l'aller, nous savons que nous devrons aussi attaquer. Nous avons la conviction que nous pouvons les battre".
"C'est un résultat particulier (le 0-0, ndlr). Il va falloir jouer intelligemment, être patient, contrôler au mieux", assure de son côté Ancelotti, qui alignera deux attaquants, vraisemblablement Inzaghi et Pato.
"Milan a montré qu'il savait gérer tous les styles d'opposition, renchérit Wenger. Ils savent ralentir le jeu, imposer leur rythme. Et quand le ballon arrive à Kaka, ils mettent une accélération subite qui peut vous tuer. Il faudra s'adapter à ça".
"Nous devrons être patients, mais notre vitesse sera un atout", insiste le Français qui sait que son adversaire n'a jamais semblé autant en péril depuis longtemps. Son élimination constituerait un véritable exploit, Milan ayant toujours été au moins en quarts de finale lors des cinq dernières éditions.
L'EMPEREUR
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siberian prince a écrit:Arsenal-Milan AC , je vois pas trop comment les young guns peuvent s"en sortir devant l'experience et le talent es rossoneri.
bah tu vois j avais raison en disant qu Arsenal pouvait créer l exploit... Ils ont gagné 2-0 à San Siro
Arsenal a une équipe jeune mais quel talent 
Dommage pour le Milan....mais bon tout le monde peut pas gagnerL OL a perdu
alors qu Aulas a dit en début d année que Lyon avait une meilleure équipe que les années précédentes Avec leur super Grosso qui n a pas réussi un seul match avec l OL Keita Bodmer QUEL RECRUTEMENT Faut laisser la place aux vrais grands
Invité- Invité
Le champion d’Europe au tapis
Arsenal a réussi un exploit mardi en allant se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions sur le terrain du champion d'Europe en titre, l'AC Milan battu 2:0. En revanche Barcelone et Manchester United seront bien présents au rendez-vous ainsi que Fenerbahçe qui arrive pour la première fois de son histoire à ce stade de la compétition.
Le match
Milan 0:2 Arsenal
Buts : Cesc Fabregas (84'), Emmanuel Adebayor (90'+2)
Arsenal, avec une équipe de 24 ans de moyenne d'âge, a éliminé le champion d'Europe en titre devenant au passage la première équipe anglaise a s'imposer à San Siro en coupe d'Europe. Faisant preuve de beaucoup de maturité malgré leur jeune âge, les leaders de la Premier League laissent d'abord passer l'orage dans le premier quart d'heure avant de se défaire peu à peu de la pression milanaise. Ils donnent un premier avertissement à la 34ème sur une frappe de Cesc Fabregas sur la transversale, se créant également plusieurs occasions face à une défense très expérimentée mais trop statique. Malgré quelques réactions milanaises en seconde période, les vifs attaquants londoniens font passer plusieurs frissons dans les travées de San Siro.
C'est finalement Fabregas qui fait la différence à six minutes de la fin. Parti de son camp, il remonte un ballon sur quarante mètres avant de placer une frappe avec rebond au ras du poteau droit de Zeljko Kalac. Milan oublie alors toute prudence et se rue à l'attaque et se fait logiquement punir sur un contre parfaitement joué. Theo Walcott déborde sur le flanc droit et adresse un bijou de centre qu'Emmanuel Adebayor en embuscade au second poteau pousse au fond pour une victoire méritée. De son côté Paolo Maldini quittait San Siro avec un petit pincement au cœur au terme de son 172ème et dernier match de coupe d'Europe.
Le but
Barcelone 1:0 Celtic Glasgow. Xavi (3')
Barcelone ouvre la marque sur une superbe action collective typique du club catalan. Xavi sert Ronaldinho qui, à son tour, sans regarder, décale Silvinho sur le flanc gauche. Le centre du Brésilien est repris de volée par Xavi, qui avait bien suivi et qui place une frappe sous la transversale ne laissant aucune chance à Artur Boruc.
Les autres matches
Manchester United s'est contenté du service minimum face à des Lyonnais entreprenants (1:0). Une nouvelle fois Cristiano Ronaldo a fait la différence, sur une frappe mal dégagée d'Anderson, en éliminant deux défenseurs en revue avant de tromper Grégory Coupet avancé. Grâce à ce but, le Portugais devient le meilleur buteur du tournoi avec six réalisations. Les champions de France, jouant le tout pour le tout, se ruent alors à l'attaque frôlant l'égalisation à la 63ème sur un tir de Kader Keita sur le poteau après un bon service de Karim Benzema.
Barcelone de son côté avait fait l'essentiel au match aller. Les Catalans ont ajouté la manière à domicile à l'image du but de Xavi dès la 3ème minute face à des Ecossais courageux mais impuissants devant ce jeu à une touche de balle. Après la pause, Barcelone gère son match se contentant de placer des attaques rapides, plus spectaculaires qu'efficaces. Seule ombre au tableau, Lionel Messi blessé a du quitter ses équipiers dès la 36ème minute.
Le FC Séville et Fenerbahçe ont encore assuré le spectacle avec des buts (10 en deux matches) et du suspens. Pourtant le match semble joué au bout de 9 minutes après les deux buts de Daniel Alves sur coup franc et de Seydou Keita sur une frappe flottante de 30 mètres. Mais les hommes de Zico, qui avait fêté ses 55 ans lundi, ne baissent pas les bras et revienntn au score sur un corner brésilien tiré par Alex et bien repris par Deivid (21). A quatre minutes de la pause, Frédéric Kanouté redonne de l'air aux Andalous sur une frappe en pivot au point de penalty. Mais en seconde mi-temps les Sévillans, après la débauche d'efforts, baissent considérablement de rythme et les Stambouliotes prennent le match à leur compte. Ils sont récompensés de leurs efforts à la 79ème sur un coup franc au second poteau pour Deivid en embuscade. Le Brésilien frappe une première fois sur la base du poteau avant de reprendre victorieusement et d'ouvrir les portes des prolongations. Après 30 minutes supplémentaires sans but, c'est finalement Fenerbahçe qui sort vainqueur de la loterie des tirs au but et se qualifie pour la premier quart de finale de son histoire grâce à un Volkan Demirel de gala qui réalise trois somptueuses parades.
Le chiffre
166, comme l'âge total de la défense milanaise: Zeljko Kalac (35 ans), Massimo Oddo (31), Alessandro Nesta (31), Kahka Kaladze (30) et naturellement Paolo Maldini, 39 ans, le joueur le plus agé de ces 8e de finale.
L'histoire
Après avoir été tenu en échec à deux reprises au Camp Nou par le Celtic Glasgow lors de leurs deux dernières confrontations européennes, Barcelone a finalement réussi à vaincre le signe indien. En effet, en 2003/04, en huitième de finale de la Coupe UEFA, Barcelone concédait un nul vierge à domicile et se trouvait éliminé après sa défaite de l'aller (1:0). En 2004/05, en phase de poules de la C1, les Catalans allaient s'imposer 3:1 au Celtic Park mais concédaient un nouveau nul à domicile (1:1). Fort de cette expérience, Barcelone a réussi le doublé mardi après sa victoire (3:2) en Ecosse au match aller.
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Les favoris doivent confirmer à domicile
Rarement les valeurs avaient été aussi nivelées en Ligue des champions à ce stade de la compétition. A l'exception de Liverpool, vainqueur 2:0 de l'Inter Milan à Anfield, aucune formation n'a en effet réussi à faire de différence significative lors des matches aller. Même si le spectacle était au rendez-vous, seuls 18 buts seulement ont été inscrits, soit une moyenne de 2,2 buts par rencontre.
On attend donc le réveil des buteurs dont le classement très serré est conduit par Steven Gerrard, Zlatan Ibrahimovic et Cristiano Ronaldo avec cinq réalisations. A noter que Kaka (Milan), meilleur buteur l'an dernier (10 buts) n'a frappé qu'à deux reprises cette saison.
Les équipes anglaises, qui présentent la plus forte représentation nationale, n'ont pas connu la défaite à l'aller (3 nuls et une victoire), une grande forme confirmée par les résultats obtenus lors de la dernière journée de Premier League (trois victoires pour Manchester, Chelsea et Liverpool et un nul pour Arsenal).
Ces huitièmes de finale ne connaîtront leur épilogue que le 11 mars avec le match Inter Milan - Liverpool, les Intéristes devant partager le terrain de San Siro avec l'AC Milan qui joue lui aussi son match retour à domicile.
Le choc
Real Madrid - AS Rome (1:2).
Après une inhabituelle série de trois défaites, dont celle du huitième de finale aller à Rome, le Real Madrid s'est rassuré samedi à Huelva (3:2) en remportant une victoire à l'arrachée au terme d'une rencontre très engagée. A cette occasion, les Merengues ont enregistré le spectaculaire retour de Robinho, absent depuis un mois. Ménagé dans la perspective du match contre Rome, Robinho, entré en jeu à la 72ème, a quand même inscrit deux buts : le premier sur son premier ballon après 16 secondes sur la pelouse, le second pour assurer la victoire à la 90ème. Dans le même temps, la Roma retrouvait elle aussi des couleurs en infligeant un cinglant 4:0 à Parme, un résultat qui conforte sa 2ème place en Serie A et sa volonté de réaliser un exploit en Ligue des champions. Les deux équipes ont perdu deux titulaires dans ces chocs: Marco Cassetti côté romain, victime d'une luxation de la clavicule gauche, et Arjen Robben côté madrilène, sérieusement touché à la cheville.
L'EMPEREUR
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Et merde le Real est éliminé 
Au moins le match était beau c est déja ça!!!
Le Real éliminé le Milan aussi... Il n y a plus qu Arsenal et Chelsea qui m intéressent. Mais je dois dire que la Roma m impressionne surtout Mexes et Totti...
Encore de beaux matches en prévision
et merde la L1 va reprendre
Au moins le match était beau c est déja ça!!!Le Real éliminé le Milan aussi... Il n y a plus qu Arsenal et Chelsea qui m intéressent. Mais je dois dire que la Roma m impressionne surtout Mexes et Totti...
Encore de beaux matches en prévision
et merde la L1 va reprendre
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L'EMPEREUR a écrit:Et merde le Real est éliminé
Le Real éliminé le Milan aussi... Il n y a plus qu Arsenal et Chelsea qui m intéressent. Mais je dois dire que la Roma m impressionne surtout Mexes et Totti...
Encore de beaux matches en prévision
et merde la L1 va reprendre
Magica ROMA EN + le but du real 1 mettre off side
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La Roma coule le Real à Bernabéu
La joie des Romains (
http://eurofoot.forumotion.com)Le Real Madrid CF n'est pas parvenu à faire fructifier son but inscrit sur la pelouse de l'AS Roma lors du match aller (2-1). Les hommes de Bernd Schuster se sont inclinés dans une rencontre qui n'aura pas manqué de saveur et qui condamne les Espagnols à une quatrième élimination consécutive au stade des huitièmes de finale de l'UEFA Champions League.
Fin de match enlevée
Souvent dominateurs durant la rencontre, les Romains pensaient avoir fait le plus dur en ouvrant le score grâce à Taddei à un quart d'heure du terme. Pourtant l'égalisation dans la foulée de Raúl Gonzales les obligait à une fin de partie entre souffrance et abnégation. Un but tardif de Mirko Vučinić permettait finalement aux Italiens de l'emporter et d'accéder aux quarts de finale pour la deuxième année de rang.
La menace Aquilani
Le début de partie manquait de rythme et souffrait des imprécisions des deux camps. Il fallait un coup de pied arrêté pour lancer les hostilités. Sur un coup franc indirect, Julio Baptista offrait à Doni sa première intervention (17e). A l'opposé, Alberto Aquilani n'allait pas non plus ménager Iker Casillas. D'une frappe flottante de 35 mètres et presque sans élan, il touchait le montant du gardien espagnol, puis, dans la continuité, servi par Mancini, il l'obligeait à détourner le danger d'une parade à la hauteur de son talent (18e). Les velléités de chacun s'avéraient dès lors plus précises, les Romains jouant pleinement leur carte offensive.
Le Real sans pivot
Le bloc défensif italien n'en était pas pour autant démobilisé, à l'image d'un Philippe Mexes efficace sur une des rares incursions en première mi-temps de Robinho (31e). Entre temps une percée plein centre de Mancini (25e) et une nouvelle frappe d'Aquilani, cette fois-ci hors cadre (28e) maintenaient le Real sous pression. Les coéquipiers de Raúl Gonzales atteignaient la pause sans avoir véritablement montré les armes suffisantes pour postuler à la qualification. Privés du formidable point d'appui que peut être Ruud van Nistelrooy, ils se heurtaient constamment à un bloc romain déterminé et attentif.
Echauffements
Comme en première période, les hostilités reprenaient grâce à un coup franc de Baptista qui venait heurter la transversale de Doni, à l'endroit même où Aquilani avait touché du bois en première mi-temps (49e). Des têtes mal ajustées de Simone Perrotta (57e), puis Raúl (62e), une frappe cadrée de Mahamadou Diarra (58e) et un tir contré de Francesco Totti (60e) continuaient d'animer une deuxième période où l'enjeu de la qualification se faisait de plus en plus présent.
La Roma sur la fin
L'intensité montait définitivement d'un cran avec l'entrée Mirko Vučinić à la place de Mancini. Le meilleur buteur romain en Champions League mettait une petite minute à se fondre dans le rythme et trouvait lui aussi la transversale de Doni (66e). Pepe exclu pour un deuxième carton jaune (71e), les Madrilènes prenaient nettement la foudre et c'était presque logiquement que Rome prenait l'avantage sur une jolie tête de l'extérieur de la surface de Taddei (0-1, 73e). Mais Rome allait immédiatement entrer en souffrance. Raul égalisait presque immédiatement face au gardien et plaçait les siens à la portée de l'exploit (1-1, 75e). Malgré une fin de match tout en souffrance, l'AS Roma assurait sa qualification et s'offrait une victoire méritée sur une tête de Vučinić dans les arrêts de jeu (1-2, 92e).
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Le Real chute, Chelsea se promène
Rome, élégant et efficace devant le Real Madrid, Chelsea, autoritaire et facile, et Schalke O4 aux tirs au but se sont qualifiés mercredi pour les quarts de finale de la Ligue des champions alors que le dernier match entre Inter-Liverpool se disputera mardi prochain.
Le match
Real Madrid 1:2 Rome
Buts: Raul (75) pour le Real Madrid, Rodrigo Taddei (73), Mirko Vucinic (90+2) pour Rome
Pour la quatrième année consécutive le Real Madrid, incapable de venir à bout d'une équipe de Rome parfaitement organisée, a été éliminé au stade des 8e de finale. Bien en place, s'appuyant sans cesse sur un Francesco Totti des grands jours, les romains ont affiché en première mi-temps une étonnante maîtrise technique au service d'un collectif permettant une circulation fluide du ballon. Le Real pour sa part, orphelin de son buteur Ruud van Nistelrooy, n'a jamais pu se défaire du pressing très haut imposé par les romains.
Le match prenait même une nouvelle dimension après la pause, paradoxalement après l'expulsion de Pepe pour un second carton jaune. Rodrigo Taddei ouvrait la marque d'une tête en extension sur un bon centre de Max Tonetto face à une défense désorganisée (73). Le temps de remettre en jeu et Raul, à l'extrême limite du hors jeu, égalisait sur une bonne ouverture de Robinho (75). Mais, plus incisifs, les romains contrôlaient les dernières minutes et confirmaient leur victoire du match aller en remportant aussi le match retour sur un but du Montenégrain Mirko Vucinic qui devançait Iker Casillas sur un coup franc de Christian Panucci.
Le but
Chelsea 3:0 Olympiakos. Michael Ballack (5)
Frank Lampard, excentré sur la gauche, prend tout son temps pour déposer le ballon sur la tête de Michael Ballack qui trompe Antonios Nikopolidis en plaçant le ballon dans la lucarne. Un but simple mais parfaitement exécuté.
Les autres matches
Chelsea a pris le match à bras le corps dès le coup d'envoi et fait la différence dès la 5e minute sur une superbe tête de Michael Ballack. Incapables de réagir, les Grecs, complètement étouffés au milieu du terrain, ont subi le reste du temps. Franck Lampard doublait la mise avant la demi-heure en exploitant bien un ballon mal dégagé par Nikopolidis. La physionomie ne changeait pas après la pause ce dont profitaient les blues pour aggraver la marque par Salomon Kalou (48) dans une rencontre à sens unique.
De son côté Porto a buté pendant 88 minutes sur une équipe allemande appliquant la tactique du hérisson en défense. Mais Lisandro Lopez, malgré les exploits de Manuel Neuer, trouvait la faille à deux minutes de la fin en réussissant une frappe de 16 mètres dans la lucarne qui ouvrait les portes des prolongations. Le match se terminait finalement par une séance de tirs au but où Neuer qualifiait en réalisant deux grandes parades.
Le dernier match Inter Milan - Liverpool aura lieu le 11 mars, l'Inter évoluant sur la même pelouse de san Siro que Milan qui a joué mardi. Le tirage au sort des quarts et demi finales aura lieu le 14 mars à Nyon (Suisse) au siège de l'UEFA.
Le chiffre
61, comme le nombre de buts record réussi par Raul en Ligue des champions qui a inscrit un total de 286 buts en 644 matches officiels sous le maillot du Real Madrid.
L'histoire
Chelsea reste invaincu à domicile en Ligue des champions depuis sa défaite (1:2) contre Barcelone, le 22 février 2006 en 8e de finale. Depuis les londoniens, qui rêvent d'offrir une finale à Moscou à leur président Russe Roman Abramovich, ont aligné sept victoires et trois nuls. En revanche Olympiakos, qui ne voulait pas prêter attention aux statistiques, ont concédé leur huitième défaite en Angleterre en autant de déplacements en concédant la bagatelle de 25 buts.
aydibilel
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Date d'inscription : 10/01/2008
Je suis tres content pour le Man Ut, et décu a propos de la défaite de Real.
Allez les diables rouges
Allez les diables rouges
Antoine
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Date d'inscription : 03/01/2008
Go Reds.
L'EMPEREUR
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LES TIRAGES
QUARTS DE FINALE (aller : 1er, 2 avril - retour : 8, 9 avril)
ARSENAL (ANG) - LIVERPOOL (ANG)
AS ROME (ITA) - MANCHESTER UNITED (ANG) allez la Roma (j en ai marre des Rosbeefs )
SCHALKE 04 (ALL) - FC BARCELONE (ESP) (Si barça gagne pas... )
FENERBAHÇE (TUR) - CHELSEA (ANG) (allez Chelsea )
DEMI-FINALES (aller : 22, 23 avril - retour : 29, 30 avril)
ARSENAL ou LIVERPOOL contre FENERBAHCE ou CHELSEA
SCHALKE 04 ou FC BARCELONE contre AS ROMA ou MANCHESTER UNITED
QUARTS DE FINALE (aller : 1er, 2 avril - retour : 8, 9 avril)
ARSENAL (ANG) - LIVERPOOL (ANG)
AS ROME (ITA) - MANCHESTER UNITED (ANG) allez la Roma (j en ai marre des Rosbeefs
)SCHALKE 04 (ALL) - FC BARCELONE (ESP) (Si barça gagne pas...
)FENERBAHÇE (TUR) - CHELSEA (ANG) (allez Chelsea
)DEMI-FINALES (aller : 22, 23 avril - retour : 29, 30 avril)
ARSENAL ou LIVERPOOL contre FENERBAHCE ou CHELSEA
SCHALKE 04 ou FC BARCELONE contre AS ROMA ou MANCHESTER UNITED
aydibilel
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Date d'inscription : 10/01/2008
Et oui le leader Man Utd a ecrasé l'AS Rome en ITALIE.Les diables rouges auront pu(du) marquer plus que deux buts.C.Ronaldo a tres bien joué et son but vraiment magnifique.Ca va etre la fete pendant le retour à Ultraford.
Henri etait chanceux sur le retour de la balle face au gardien pour donner une passe décisive et marquer le but.
Henri etait chanceux sur le retour de la balle face au gardien pour donner une passe décisive et marquer le but.
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