2,6 millions de dollars ! C’est ce que pourraient toucher les deux lauréats de la prochaine édition de l’US Open. Sans un système de primes propre au Grand Chelem américain, Roland Garros tiendrait la comparaison.
Un système de primes unique
C’est comme si un casino de Las Vegas débarquait à New York le 25 août. Petite différence avec les cash machines de Vice City, celles de Flushing Meadows récompenseront les plus compétitifs et non les plus chanceux. Déjà prodigieux la saison dernière, le prize money attribué lors de la dernière levée du Grand Chelem est encore plus faramineux cette année : 20,6 millions de dollars, plus 2,6 millions de dollars de primes attribuées en fonction des performances lors des neuf tournois associés de la tournée nord-américaine précédant l'US Open, soit un total de 23,2 millions de dollars à répartir ! Du jamais vu dans le monde de la petite balle jaune. Une somme qui en affole certains mais qui reposera à moitié sur le système des primes propre à l’autre côté de l’Atlantique. L’Olympus US Open Series englobe ainsi neuf tournois (ATP et WTA) qui prend en compte les performances de chaque joueur puis répartit des bonus à la fin de l’US Open. Un joueur comme James Blake, par exemple, bien qu’éliminé précocement à Flushing Meadows par Tommy Haas en 2007, avait touché une enveloppe bien garnie du fait de sa campagne estivale rigoureuse (il avait terminé dauphin de Federer au classement de l’USTA).
Où se situe Roland Garros ?
L'an passé, le Suisse Roger Federer avait encaissé un chèque de 2,4 millions de dollars grâce au gain de l'US Open et à ses performances estivales. Cette mine d’or peut expliquer les défections de certaines grosses pointures aux Jeux Olympiques de Pékin comme Mardy Fish ou Andy Roddick, qui ont toutefois assuré vouloir jouer le tournoi de Washington afin de mieux préparer l’US Open… Toujours est-il que le Grand Chelem de la banlieue new-yorkaise du Queen’s devrait voir débouler cette année plus de 700 000 spectateurs, un record là aussi en la matière. A titre de comparaison, Roland Garros a atteint la barre des 455 000 spectateurs, en comptant la semaine de qualifications ! Les organisateurs du Grand Chelem français étaient d’ailleurs comblés par ce chiffre, le meilleur depuis la création de l’événement. Les dotations avaient aussi été mises en avant en juin dernier car elles étaient encore plus élevées que celles offertes à New York sans le système des primes ! Un chèque d’un million d’euros (1 572 000 dollars) est ainsi offert à chaque lauréat pendant que les finalistes malheureux ont empoché chacun 530 000 euros (soit 834 000 dollars contre 750 000 à l’US Open). Là où Roland accuse toutefois un énorme retard vient de la parité des gains, mise en place depuis deux ans à Paris alors qu’elle est au programme depuis 1973 à New York !
hé bien ça gagne bien dans le tennis en tout cas ça va motivé tout le monde
Un système de primes unique
C’est comme si un casino de Las Vegas débarquait à New York le 25 août. Petite différence avec les cash machines de Vice City, celles de Flushing Meadows récompenseront les plus compétitifs et non les plus chanceux. Déjà prodigieux la saison dernière, le prize money attribué lors de la dernière levée du Grand Chelem est encore plus faramineux cette année : 20,6 millions de dollars, plus 2,6 millions de dollars de primes attribuées en fonction des performances lors des neuf tournois associés de la tournée nord-américaine précédant l'US Open, soit un total de 23,2 millions de dollars à répartir ! Du jamais vu dans le monde de la petite balle jaune. Une somme qui en affole certains mais qui reposera à moitié sur le système des primes propre à l’autre côté de l’Atlantique. L’Olympus US Open Series englobe ainsi neuf tournois (ATP et WTA) qui prend en compte les performances de chaque joueur puis répartit des bonus à la fin de l’US Open. Un joueur comme James Blake, par exemple, bien qu’éliminé précocement à Flushing Meadows par Tommy Haas en 2007, avait touché une enveloppe bien garnie du fait de sa campagne estivale rigoureuse (il avait terminé dauphin de Federer au classement de l’USTA).
Où se situe Roland Garros ?
L'an passé, le Suisse Roger Federer avait encaissé un chèque de 2,4 millions de dollars grâce au gain de l'US Open et à ses performances estivales. Cette mine d’or peut expliquer les défections de certaines grosses pointures aux Jeux Olympiques de Pékin comme Mardy Fish ou Andy Roddick, qui ont toutefois assuré vouloir jouer le tournoi de Washington afin de mieux préparer l’US Open… Toujours est-il que le Grand Chelem de la banlieue new-yorkaise du Queen’s devrait voir débouler cette année plus de 700 000 spectateurs, un record là aussi en la matière. A titre de comparaison, Roland Garros a atteint la barre des 455 000 spectateurs, en comptant la semaine de qualifications ! Les organisateurs du Grand Chelem français étaient d’ailleurs comblés par ce chiffre, le meilleur depuis la création de l’événement. Les dotations avaient aussi été mises en avant en juin dernier car elles étaient encore plus élevées que celles offertes à New York sans le système des primes ! Un chèque d’un million d’euros (1 572 000 dollars) est ainsi offert à chaque lauréat pendant que les finalistes malheureux ont empoché chacun 530 000 euros (soit 834 000 dollars contre 750 000 à l’US Open). Là où Roland accuse toutefois un énorme retard vient de la parité des gains, mise en place depuis deux ans à Paris alors qu’elle est au programme depuis 1973 à New York !
hé bien ça gagne bien dans le tennis en tout cas ça va motivé tout le monde