Le Zurich Open n'aura pas lieu en 2009. En cause, les incertitudes liées à la refonte du calendrier de la WTA. Les organisateurs réévalueront la situation pour 2010.
Ces mêmes organisateurs ne donnent toutefois aucune garantie pour le maintien d'une épreuve qui fêtera son 25e anniversaire en octobre. «L'incertitude est mauvaise pour le business», a résumé Phil de Picciotto, président d'Octagon, la société en charge de la compétition.
Saison bouclée plus tôt
«Globalisation du tennis oblige, il y a de plus en plus de demandes pour des tournois, en Asie notamment. Il y a beaucoup d'argent en jeu là-bas. De notre côté, nous ne voulons pas investir sans savoir de quoi demain sera fait», a-t-il expliqué lors d'un point presse tenu en marge de Wimbledon.
Pour ne rien arranger, la WTA veut boucler la saison tennistique plus tôt dans l'année, de quoi pénaliser la compétition zurichoise qui se déroule à la mi-octobre. «On nous a proposé de faire un tournoi sur terre battue au printemps. Mais il fait trop froid pour jouer dehors. Quant à une épreuve indoor, c'est impossible avec l'Hallenstadion occupé par les play-off de hockey sur glace», a ajouté Phil de Picciotto.
Vers une fusion?
Pour toutes ces raisons, les organisateurs ont voulu se donner du temps «pour analyser les prochaines évolutions du circuit et préparer un nouveau produit», a continué Beat Ritschard, directeur du Zurich Open. «Nous espérons organiser le tournoi en 2010, mais nous ne donnons aucune garantie», a-t-il toutefois prévenu.
Selon Phil de Picciotto, une solution à terme serait d'envisager une collaboration avec Bâle et Gstaad (les deux tournois masculins du calendrier) et d'organiser une compétition haut de gamme en Suisse. Ceci permettrait aussi de plaire à l'ATP et à la WTA, qui cherchent de plus en plus des épreuves combinées réunissant dames et messieurs.
Ces mêmes organisateurs ne donnent toutefois aucune garantie pour le maintien d'une épreuve qui fêtera son 25e anniversaire en octobre. «L'incertitude est mauvaise pour le business», a résumé Phil de Picciotto, président d'Octagon, la société en charge de la compétition.
Saison bouclée plus tôt
«Globalisation du tennis oblige, il y a de plus en plus de demandes pour des tournois, en Asie notamment. Il y a beaucoup d'argent en jeu là-bas. De notre côté, nous ne voulons pas investir sans savoir de quoi demain sera fait», a-t-il expliqué lors d'un point presse tenu en marge de Wimbledon.
Pour ne rien arranger, la WTA veut boucler la saison tennistique plus tôt dans l'année, de quoi pénaliser la compétition zurichoise qui se déroule à la mi-octobre. «On nous a proposé de faire un tournoi sur terre battue au printemps. Mais il fait trop froid pour jouer dehors. Quant à une épreuve indoor, c'est impossible avec l'Hallenstadion occupé par les play-off de hockey sur glace», a ajouté Phil de Picciotto.
Vers une fusion?
Pour toutes ces raisons, les organisateurs ont voulu se donner du temps «pour analyser les prochaines évolutions du circuit et préparer un nouveau produit», a continué Beat Ritschard, directeur du Zurich Open. «Nous espérons organiser le tournoi en 2010, mais nous ne donnons aucune garantie», a-t-il toutefois prévenu.
Selon Phil de Picciotto, une solution à terme serait d'envisager une collaboration avec Bâle et Gstaad (les deux tournois masculins du calendrier) et d'organiser une compétition haut de gamme en Suisse. Ceci permettrait aussi de plaire à l'ATP et à la WTA, qui cherchent de plus en plus des épreuves combinées réunissant dames et messieurs.